Mes héroines (non je ne parle pas de la drogue)

Voilà, je voulais parler de « mes héroines », ces filles que j'aime bien dans les séries (ou autres) qui me tombent entre les mains ou sous les yeux. Les Héroines, ces personnes au destin tragique et fascinant, courageuse au possible, à qui il arrive plein de choses, les filles qui sont faites pour vous dire « your life sucks » Enfin pas toutes, il en reste quelques unes qui au final ne sont pas si parfaite que ça. Clara Sheller, mais surtout, Vala Mal Doran, alias la déesse Qetesh. Toutes les deux ont un penchant pour le mensonge, sont des boulets et je prend exemple sur elles. (Enfin surtout sur Vala, par un temps, j'essayais de me coiffer comme elle -_-.)

Pouët les gens! (le grand n'importe quoi-encore un article fourre tout)

I've something to tell (William Tell...)! J'ai toujours ma carte du monde sur le mur, en face de moi. Tout a l'heure, en écoutant les Grosses Têtes, j'ai été à Nouméa. Jaune. J'ai toujours ce poster. «Vous partirez à des millions d'années-lumières, reviendrez vous?». J'ai toujours toutes ces cartes postales, ces photos et ces BDs, au mur. Je vais me couper les cheveux. Plus courts ou pas-. Je sais que depuis longtemps je veux les voir longs, mais là, ils ne poussent plus, alors je me suis faite une raison. In ciseaux I trust. Bon, après je ne suis pas là pour parler de mes cheveux, ni de mes posters. L'autre jour,il y a quelques temps, mais pas si longtemps que ça, j'ai été donner un «cours» d'anglais. Histoire de voir ce que c'est que d'enseigner. C'est dans un groupe pour aider des adultes qui ont eu des problèmes. Je m'attendais à voir des gens dépressifs, tristounets et faisant la tronche, mais non! Ce fut une bonne surprise et une bonne rencontre. On a bien ri. Pis on a parlé un peu anglais. -_-' C'était fun. Bon après les gens étaient super motivés, ils avaient vraiment envie de parler, d'être là, de faire des petites blagues et tout... Pas comme les sales petits cons pourris et gâtés que je risque d'avoir si je fais prof dans un collège ou lycée. Sinon,demain c'est le 11 novembre. Une grasse matinée. Et un hommage à ceux qui se sont battus pour notre (beau) pays. Et une dissert' à faire et à rendre. Même si... A tiens, sinon y a le Vendée Globe. 3 mois tout seul perdus en pleine mer, ça fait rêver. J'aimerai bien faire ça,enfin avec des trucs bons à manger et du confort. Même « si la mer c'est dégueulasse, les poissons baisent dedans »

Hasta siempre camarade!

Finalement, j'ai pas tant profité que ca du 11 novembre, je me suis levée tard, certes, mais j'ai pas avancé dans ma dissert', il est 21h30 et tout ce que je veux, c'est me coucher. J'ai raconté que de la merde dans ma dissert', même moi j'ai du mal a comprendre ce que j'ai écrit. (Bon je sais, ça m'arrive tout le temps mais bon...) J'ai fait ma loque, j'ai écouté la Bonne Touche et les Grosses Têtes, et j'ai écrit et parlé. J'ai passablement oublié mes rêves de la nuit. Surement rien de bien importants. Au moins ils étaient moins marquants que ceux de l'autre jour que je ne vous raconterai sans doute jamais. Une chose est sure, je n'ai pas révé de neige. Je m'en souviendrais. L'autre jour j'ai rêvé de la neige. Du blanc partout. La neige ca me met en forme. A priori on en aura cette année. Il ne faudra pas attendre mars pour en voir. J'espère. Oh si peut etre qu'en fait j'ai révé de neige. De boules de neige et de batailles. Mais était ce cette nuit ou la nuit d'avant?Est ce que le roi qui rêve qu'il est artisan est plutôt un roi ou un artisan? Vieux souvenir de terminale. Je crois que le lycée me manque, avec son environnement protecteur, les chansons, les maths, l'anglais facile, l'absence (ou presque) de travail. Je crois qu'en fait ma période nostalgie n'est pas finie. Après la nostalgie, ca peut être du rêve, nope? Est ce qu'on peut etre heureux en vivant dans le passé/ en vivant par procuration?Je crois que je vais retourner à mon essay/i raté! Après une mauvaise nuit, un rêve avec de la maladie, du vomi, du malaise, et des toilettes bizarres, -je ne veux plus rêver de ça-je me suis levée à 7h00 pour un cours que je n'avais pas. (bon on était prévenu plus ou moins), du coup j'en ai profité pour bosser. Et oui ça arrive, même à la fac.Surtout à la fac. J'ai eu mal au dos toute la journée, et j'ai été super fatiguée, du coup je me suis « endormie » en CM. Comme l'an dernier en histoire. Ecrire en dormant. Sauf que j'arrivais pas à me relire. -_-'' Enfin bon, cette petite sieste m'a fait du bien. Un peu. Les siestes les moins voulues sont les meilleures il paraît. Indeed. La vie est si dure parfois. Le truc bien du jour, c'est qu'on a pas eu de thème à faire. Sinon l'autre jour, j'ai révé qu j'allais a Koh Lanta et que je faisais du feu avec deux morceaux de bois.

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Ma vie Rêvée, c'est vite dit. Il paraît qu'on doit avoir des rêves assez grand pour ne pas les perdre de vue. Je ne perd pas les miens de vue, je crois juste que je ne pourrai pas les réaliser. L'autre jour, lundi, j'ai rêvé. J'ai rêvé que je partais en Afrique. Au Congo. (comme Tintin) Au Congo en guerre. Dans un camp de réfugié. Pour apprendre à lire et à écrire à des enfants. Fils et Filles d' illettrés et de gens fuyant la misère et voulant épargner ça à leurs enfants. Voilà, toujours ce vieux rêve: enseigner la lecture et l'écriture. Ces wonderful things qui permettent d'exprimer ses sentiments, ses passions, ses envies sans que personne ou presque ne le sache, qui permettent de rêver, de s'évader et d'oublier sa vie de merde, Raga Je me suis rendue compte de cette chance que j'ai de pouvoir écrire, pour évacuer, pour dire les choses, pour changer le monde sur mon ordinateur ou ma feuille de papier. Toutes ses déclarations d'amour ou de haine oubliées au fond d'un tiroir, écrites à l'encre invisible. (Je trouvais ça sympathique) Tous ces jeux à base de mots. I'm a lucky one. Bref ou en étais-je? (dans quel étagère?) Le Congo (comme Docteur Carter) , le village de réfugié, les tentes pour les soins, les bagarres, la chaleur, les moustiques,le sable, les autres gens partis aider les autres, Les médecins. Dans mon rêve il y en avait un. Que j'avais aidé pour donner la vie. C'était magique et magnifique. Il était beau. Le bébé aussi. C'est vraiment quelque chose que je veux tenter, mais c'est risqué. Je dois voir l'autre bout de ce monde. Ou aller me prendre des cuites au rot-gut wine. :p. I want to leave.

Je crois que si je veux partir c'est surtout pour éviter ce monde civilisé et les considérations et futiles des gens qui le peuplent (la malédiction des deux ans). Je veux faire des choses importantes et utiles, plus que l'étude de la grammaire anglaise (que je commence à apprécier même si je capte toujours rien :s) ou de la vie de Maggie Tulliver. J'en ai marre de tous ces gens qui se plaignent toujours, qui critiquent tout, mais qui ne feraient peut être pas mieux. Je me dégoute parfois. Souvent même. Même. Je ne devrais pas mettre ça ici, après tout c'est mon beau blog, le blog optimiste. Le blog de l'espoir. Don't threw it all away.

PS: Un seul refus de ta part mènerait à ma perte...